Une réflexion sur “Jeudi 3 décembre 2015 #Nymphéas”
Ma chère Berthe, je t’écris de mon canapé où je passe mes derniers instants de cette trépidante journée. Safran ronronne à côté de moi, ce bruit perpétuel à partir de vingt heures me détend souvent mais peut m’agacer s’il perdure au-delà de vingt-trois heures. Je vais finir mon roman ce soir et j’en suis fort attristée. Il est toujours difficile de quitter une histoire. Je déteste le mot FIN. Et pourtant je m’apprête à terminer ce petit mot qui n’a ni queue ni tête,
je t’embrasse. Ton amie Albertine
Ma chère Berthe, je t’écris de mon canapé où je passe mes derniers instants de cette trépidante journée. Safran ronronne à côté de moi, ce bruit perpétuel à partir de vingt heures me détend souvent mais peut m’agacer s’il perdure au-delà de vingt-trois heures. Je vais finir mon roman ce soir et j’en suis fort attristée. Il est toujours difficile de quitter une histoire. Je déteste le mot FIN. Et pourtant je m’apprête à terminer ce petit mot qui n’a ni queue ni tête,
je t’embrasse. Ton amie Albertine
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